Après avoir gagné deux fois le championnat Horizon, il était temps d’en prendre les rennes. En jeu, cela se traduit par la possibilité de configurer les épreuves du jeu. Lorsque vous arrivez à un point d’intérêt, vous pourrez donc choisir le type d’épreuve (championnat, exhibition, etc), la catégorie de véhicules (ou une thématique), le nombre de tours et même la météo. Au final, la seule chose qui vous est imposée est le tracé de la course. Et c’est bien dommage, car ce dernier paramètre est l’un des plus importants. Ceci étant dit, même si cette première heure de jeu est très guidée, elle laisse déjà entrevoir des possibilités intéressantes.
Un bon feeling
Forza Horizon 2 avait amené la série un peu plus loin dans l’arcade, laissant les joueurs qui avaient apprécié les restes de simulation dont avait hérité le premier épisode sur leur faim. Après avoir essayé différent types de véhicules (buggy, berline allemande, 4x4 et hypercar), il semblerait que Playground Games ait décidé de revoir sa copie, pour revenir à quelque chose de plus proche du premier Horizon. Les sensations sont bonnes. De plus, elles sont différentes et (surtout) cohérentes en fonction de la voiture pilotée. Et même s'il nous manque quelques kilomètres au compteur pour valider cet aspect du jeu, nous pouvons déjà affirmer que cela s’annonce bien.
Et sexy en plus
Visuellement, le jeu est très aguicheur. Les véhicules sont finement modélisés. Il n’y a qu’à voir l’interface de la section tuning du jeu. Celle-ci reprend le fonctionnement du mode autovista, vous permettant de tourner autour de votre voiture pour sélectionner la partie à modifier. Pour ce qui est de l’environnement, lui aussi est plutôt joli. Si nous n’avons vu que du désert, celui-ci offre un terrain de jeu déjà sympa, avec un aéroport, une usine et un petit village. En plus du désert, le titre proposera des environnements urbains, de la jungle ainsi que des plages. La variété devrait donc être au rendez-vous.